PowerQuery, qu'est-ce que c'est ?
Difficile de définir en quelques mots cet outil, proposé en add on sur les versions Excel 2010 et 2013 puis si bien intégré à 2016 que certains utilisateurs ignorent son existence.
Si PowerQuery fonctionne à base de requêtes, on ne peut le ranger dans la même catégorie que les requêteurs SQL, ni dans celle des produits comme Business Objects avec lesquels il partage des possibilités de traiter et présenter les données.
- Les requêtes
- elles permettent, relativement classiquement, de :
- récupérer des données de sources très variées où la notion de table doit être présente,
même si les capacités de traitement permettent également des sources moins formelles,
- croiser les tables sur la base de relations 1 à n,
- réaliser l'union de tables,
- elles offrent des possibilité de traitement qui combinent des fonctionnalités qu'on retrouve dans Excel soit au niveau
- des formules,
- des TCD,
- du VBA qu'elles permettent d'éviter dans nombre de cas.
- L'interface PowerQuery
- Cette interface est composée :
- d'un ruban proposant la plupart des commandes disponibles, réparties dans des onglets comme dans l'interface Excel
- d'une barre de formules
- d'un espace de travail divisé en 3 sections :
. à gauche la liste des éléments : requêtes, fonctions personnelles, groupes éventuels
. au centre la visualisation du résultat de la requête où il est possible d'afficher le résultat de chaque étape si nécessaire
. à droite le volet listant les étapes de la requête active, étapes dont on peut afficher et modifier le contenu dans la
barre de formule ou les paramètres grâce à la roue dentée placée en bout de ligne de certaines étapes.
- Le but de cette présentation
- il n'est pas de faire une description exhaustive, ni un manuel de référence, mais d'illustrer quelques problématiques courantes où PowerQuery offre une solution simple et efficace.